mardi 13 janvier 2009

Première soirée libertine (3) : Premier contact

Pénélope s'est allongée dans la pièce où nous avons fait chou blanc. Je lui caresse les seins et les jambes, remontant sa jupe du même coup. Pour l'instant, nous sommes seuls.

Un couple entre. La pénombre fait que je ne les reconnais pas. La femme s'approche de Pénélope et lui prend le mollet, en la regardant d'un air interrogateur. Pénélope ne bronche pas ; au contraire, je crois qu'elle pose sa main sur celle de la nouvelle venue. Pour la suite, je ne saurais même pas dire exactement dans quel ordre les choses se sont déroulées tellement tout a été vite.

Pénélope et la femme s'enlacent et s'embrassent. C'était très beau, une scène que j'attendais depuis longtemps et à la hauteur de mes espérances. Hélas, gâchée par le fait qu'elle a duré très peu de temps et que j'étais occupé à penser "oh là, oh là, oh là, qu'est ce qui se passe".

L'homme, qui tenait sa femme par la taille, caresse Pénélope. Il l'embrasse à pleine bouche, ce que j'ai trouvé aller un peu vite en besogne.

Je reste d'abord à l'écart, intimidé et respectant naïvement le principe de précaution libertin que j'avais cru s'appliquer en ces lieux : ne rien faire qui n'est été accepté par l'autre. Me rendant compte qu'une main sur la cuisse donne visiblement à ce couple un droit de cuissage total sur ma femme, je me mêle au jeu, assez timidement je dois bien le dire.

J'ai donc pu caresser les jambes de notre partenaire, sans doute un sein (je n'en suis même plus sûr) et je l'ai embrassée.

Ni Pénélope ni moi ne pouvons accéder à son sexe, que l'homme protège solidement de sa cuisse. Je crois l'entendre dire "plus tard". Par contre, ils assaillent tous les deux le sexe de Pénélope, apparemment sans ménagement ou subtilité.

Pendant ce temps, deux autres couples se sont installés de part et d'autre de nous quatre, à environ un mètre de distance. Tous deux sont constitués d'une très jolie jeune fille et d'un homme rondouillard ne me faisant aucune envie. Ils nous regardent à l'affût d'une place qui se libère.

Toujours dans le même temps, trois personnes sont entrées dans la pièce. Debout, elles nous mâtent. Il y a là au moins un des hommes seuls qui ont vadrouillé dans le club durant toute la soirée. Je ne saurais dire si les deux autres étaient un couple ou deux autres hommes, je n'ai pas eu le temps de les regarder ...

La situation de notre quatuor devenait extrêmement frustrante. L'homme et la femme ne s'occupaient que l'un de l'autre, ne gardant qu'une main libre pour caresser Pénélope. Ou plutôt pour lui mettre une main dessus en guise de marque de territoire et, j'imagine, de source d'excitation.

Bref, il était clair qu'ils étaient là pour eux, pas pour un échange, et que nous n'étions que des accessoires. Quelques minutes après leur arrivée, ils se sont levés (il faut dire qu'ils s'étaient installés un peu brutalement, écrasant une jambe de Pénélope). Un couple opportuniste a profité de l'occasion pour s'attaquer à la femme, qui s'est laissée faire.

Pénélope et moi ne savions que faire, et n'avons donc rien fait. Un moment plus tard, ils n'étaient plus là, mais je n'ai pas le souvenir de les voir partir. Pénélope m'a dit : "Un homme me tient la jambe". C'était l'un des rondouillards. Nous sommes partis à notre tour.

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