vendredi 20 février 2009

Faisons le point

Alors bon, d'abord, nous avons franchi le pas. Lorsque je me souviens de mes premières réactions sur le libertinage, je me dis que c'est bien, j'ai su évoluer, et, mieux encore, en profiter. Je ne me suis pas lancée la mort dans l'âme, ni la peur au ventre.

Rien que ça, c'est réjouissant, ne l'oublions pas.

Ensuite, nos rencontres au No Comment m'ont moyennement plu. Je l'ai déjà écrit, je ne reviendrai pas là-dessus, c'était un peu "bourrin". En revanche je conserve un bon souvenir de cette soirée: une nouvelle expérience, ensemble, main dans la main, la conscience de faire complètement confiance à Monsieur Chapeau en acceptant de sauter par-dessus mes dernières hésitations, un endroit qui m'a plu, des gens certes libertins, mais normaux (dans le sens de "comme nous", je crois)...

Le temps passant, j'ai eu envie d'y retourner. Nous en avons discuté, avec Monsieur Chapeau, et je crois que nos attentes sont plus claires, moins ambitieuses. Je veux juste profiter, passer un moment coquin et particulier avec l'homme que j'aime. Pour le reste, on verra bien.

Au travers de ces expériences, de ces discussions, j'ai acquis de la confiance en moi. Je me sens mieux dans ma peau, dans mon corps et dans ma tête. Mais je suis toujours moi. Cela ne m'a pas "changée" dans ce que je suis vraiment.

Cela n'a pas non plus changé notre couple. Nous faisons plus l'amour, avec plus de plaisir encore qu'avant. Mais nous nous aimons, de la même façon. Complètement.

Alors, pour ceux et surtout celles qui hésitent, un petit message: pourquoi pas? Essayez, vous n'êtes obligés à rien. Il existe des endroits, jolis, pas glauques, où le seul but des couples qui s'y rendent est de donner et de recevoir du plaisir. C'est simple, en fait, non?

Personnellement, je n'irais pas pour autant très régulièrement. C'est une cerise sur le beau gâteau qu'est notre histoire, à Monsieur Chapeau et à moi. Mais je suis gourmande. J'aime mieux avec cerise que sans.

samedi 14 février 2009

La fête des amours libertines

Si la Saint-Valentin est la fête des amoureux, qui est donc le saint patron des libertins ? Quand fêterons-nous le plaisir et la sexualité ?

mercredi 11 février 2009

Elles aiment la coquelicot

Aujourd'hui, j'ai une grande question existentielle : pourquoi se trouve-t-il que je me fais draguer par des femmes si facilement ces derniers temps?

Ne vous méprenez pas: je n'ai aucun soucis avec l'homosexualité, masculine ou féminine. Simplement, je m'interroge. Je me souviens que jeune femme, les femmes m'attiraient davantage. Je me faisais déjà aborder régulièrement par des femmes. Ce qui ne m'a jamais gênée, mais je n'ai jamais non plus encouragé ces dames. J'ai longtemps tergiversé sur mon orientation.

Ces questions se sont envolées avec l'arrivée de Monsieur Chapeau, qui est vraiment trop craquant, que j'aime comme une dingue et qui est extraordinaire au lit. Je n'ai pas d'attirance pour les femmes que je croise, mais est-ce parce que je suis hétéro ou parce mon amour pour Monsieur Chapeau prend toute la place dans mon coeur ? (Et pas seulement dans mon coeur, d'ailleurs. Mais je m'égare.) Et si je ne suis pas plus attirée par les hommes que je croise, est-ce parce que je préfère les femmes ou par exclusivité amoureuse ?

Le sujet a pris une autre tournure depuis que nous sommes dans un "esprit libertin". J'ai l'impression de me faire draguer plus souvent, et surtout par des femmes. J'ai eu mon aventure, qui est venue sans que je la provoque. Une amie m'a dit : "si tu n'étais pas mariée, j'aurai juré que tu étais lesbienne." Une autre : "Alors comme ça, tu es mariée, mais tu aimes quand même les femmes ?" Alors je m'interroge: mon attitude est-elle équivoque? Est-ce que j'envoie des "signaux" sans m'en rendre compte ? Les lesbiennes voient-elles en moi un comportement ou une nature qui m'échappe à moi-même ?

En fait je n'ai pas envie d'être une allumeuse. D'où mon interrogation.

Bon bref, quelqu'un a-t-il une réponse à me fournir?

dimanche 8 février 2009

Y retourner ou pas ? (2)

Après Mlle Coquelicot, à moi de répondre aux questions essentielles du libertinage : où, quand pour quoi faire ?

Où ?
C'est vrai que la diminution du stress est le mot d'ordre de notre prochaine sortie. Donc, mieux vaut aller dans un lieu connu. Pour autant, je suis tenté par la soirée spéciale du 14 mars au Château des Lys. C'est une soirée masquée et typée Eyes Wide Shut, c'est-à-dire hommes mystérieux cachés sous des capes et femmes lascives et magnifiques. ( Nous n'avons pas vu ce film qui a pourtant marqué le milieu échangiste pour la beauté de sa scène d''orgie, visible en partie sur le blog de (Liber)tango. )

Cela dit, Mlle Coquelicot m'a dit préférer éviter les soirées à thème pour les premières fois, de peur de multiplier les raisons d'être mal à l'aise (entre le thème et l'affluence supposée). Elle a raison, évidemment. Nous aurons sans doute l'occasion de jouer au Carnaval plus tard.

Quand?
Moi aussi, j'aimerai pouvoir libertiner sur un coup de tête, quand l'envie nous en prend. C'est doublement impossible, à cause des enfants et de l'interdiction que nous nous faisons de sortir (horizontalement) dans notre propre région. Quoique, c'est plutôt doublement difficile qu'impossible. Il doit être possible de saisir certaines occasions. Sans compter que les rencontres privées, hors club, doivent être un peu plus simples à organiser dans l'urgence (même si la majorité finit sans doute en lapin ou sans assez d'affinité pour poursuivre au-delà d'un café). Mais je m'égare, ce n'est pas d'actualité, ni le sujet présent.

Notre première expérience ne m'encourage pas à devenir un libertin "régulier" comme dit Mlle Coquelicot, que ce soit au sens "fréquent" ou au sens "sur un rythme fixé". Par contre, j'ai envie d'essayer à nouveau, justement pour voir si la raison de notre déception est liée à la maladresse de la première fois ou à la nature même du libertinage par rapport à nos attentes. Je ne peux pas encore dire si j'aimerai sortir tous les deux mois ou tous les deux ans. Tout dépend de la qualité de nos futures sorties. Si on s'éclate, je n'ai pas de limite a priori, hors questions pratiques.

Pour quoi ?
Ayant consommé pas mal de mes fantasmes "pressants" la dernière fois (être dans un tel lieu, voir Mlle Coquelicot embrasser une femme, toucher une autre femme, etc), j'ai moins d'attentes pour cette deuxième sortie. Tout ce que je veux, c'est prendre du bon temps, avoir du plaisir éventuellement et faire plus si l'occasion se présente. Notamment, je serais moins réticent à faire l'amour seul avec Mlle Coquelicot si j'en ai envie, sans forcément me réserver en attendant des partenaires de jeu.
Si j'ai un fantasme qui me taraude encore un peu, c'est de voir Mlle Coquelicot faire l'amour avec une femme. J'espère donc qu'elle me laissera l'aider et l'encourager à prendre contact avec une partenaire, du moins si elle en croise une à son goût. Je n'ai aucune envie qu'elle se force pour me faire plaisir, puisque c'est précisément son plaisir et son envie à elle qui m'excite.
J'aimerai aussi toucher un homme, mais c'est plus compliqué qu'entre femmes. Je ne sais pas si j'oserai en club avec des inconnus dont je ne connais pas déjà l'orientation. En plus, Mlle Coquelicot n'est pas trop chaude pour que je vive cette aventure.


J'ai lu récemment que ce n'est pas le libertinage qui rapproche les couples, mais le dialogue nécessaire à ce libertinage (je paraphrase). Je trouve cela très juste. Notre expérience libertine en elle-même n'a pas eu un impact considérable sur notre vie. Par contre, nous avons énormément parlé, partagé nos doutes et nos envies, faits des projets. Tout cela a renforcé notre amour l'un pour l'autre.
J'ai un peu l'impression d'être revenu à nos premières années de ce point de vue. Non pas que l'intensité de nos sentiments ait baissé avec les années, mais ils se manifestent plus ardemment, avec une impétuosité que j'associe à la jeunesse. Ainsi, nos journées sont pleines de tendresse et de passion, de pensées amoureuses et de désir. Nous sommes également plus démonstratifs entre amis et en public, par des bisous, des câlins et des mots tendres (et parfois des blagues plus osées qu'à l'habitude !). Les mauvais côtés de ces années en moins. La maladresse des débuts, les doutes sur le futur, les situations précaires : tout cela n'est pas revenu, heureusement !

D'une certaine façon, nous vivons un âge d'or personnel... Merci à toi, Mlle Coquelicot !

Je t'aime.

samedi 7 février 2009

Y retourner ou pas ? (1)

Récemment, comme Monsieur Chapeau l'a écrit, nous avons discuté de re-libertiner.

Où?
Ca, c'était facile. En fait nous aimons bien le No Comment, et connaître déjà l'endroit permet de diminuer le stress.

Quand?
J'ai cru au départ que Monsieur Chapeau voulait devenir "régulier" de ce genre d'expérience. Je n'en ai pas envie. Je préférerais ne pas avoir de cadence, d'habitude, y aller quand nous en avons envie. Bon, techniquement ce n'est pas possible simplement, mais on peut essayer de s'en rapprocher.
J'avais mal compris, en fait. Il faut que j'arrête d'interpréter et que j'écoute simplement. D'autant que Monsieur Chapeau est quelqu'un de remarquable et il est extraordinairement à mon écoute, même quand je ne dis rien. C'est beau, l'amour.
Dans un avenir proche, donc. D'accord.

Pour quoi?
Par rapport à moi, dans un premier temps. Je ne sais pas ce que j'attends. L'expérience de la dernière (et première) fois m'a un peu refroidie. Je me demande si je chercherai à aller aussi loin. Si ça se présente et que le courant passe, ok. Mais je serai plus exigeante: je veux de la sen-su-a-li-té. Pas juste du rentre-dedans (oh, la classe, l'expression!)
Par rapport à Monsieur Chapeau: nous en reparlerons, j'imagine. Je n'ai aucun souci de jalousie (c'est surprenant, d'ailleurs). Je veux juste qu'il en profite, qu'il soit heureux de ces moments.


Je suis heureuse de cette nouvelle dimension dans notre vie. C'est un grand bouleversement pour moi, pour des raisons plus ou moins compliquées. Mais surtout c'est une réussite. Nous sommes encore plus proches qu'avant. J'ai tout le temps envie de Monsieur Chapeau, et nos ébats sont magnifiques et baroques. Je me sens encore plus proche de lui, dans mon âme. Nous étions déjà assez fusionnels, nous le sommes encore plus.
J'ai pris confiance en moi, aussi. Je me sens plus attirante, plus sûre de moi.
Ca va plutôt bien, donc.

Il faudrait juste que de temps en temps nous résistions à nos pulsions, histoire de dormir un peu...

( Mais non, Monsieur Chapeau, je plaisante... )

mardi 3 février 2009

Bilan de janvier 2009

Chaque nouvelle année ou presque, je me dis qu'il serait amusant de compter nos ébats, pour voir notre score réel sur l'année. Chaque année ou presque, quelques jours passent, je ne note rien et il est rapidement trop tard. Et je me dis que, de toute façon, cette idée est un peu saugrenue, voire pas très maligne.

Cette année, sur bien des points, est différente. Sachant que nous allions libertiner, j'étais plus motivé pour prendre des notes dans mon calepin. En voici le résultat.

Nous avons fait l'amour 16 fois en janvier. La première fois juste après le réveillon de l'an, pour fêter la nouvelle année. (Techniquement, c'était le 1 janvier ; on peut aussi voir ça comme la nuit du 31, ce qui nous descendrait à 15.) Une fois au No Comment (entre nous ; je ne compte pas notre mélange avec Charlotine et Ernestin, ou quels que soient leurs noms, puisque nous ne nous sommes pas présentés). Une fois au milieu de la nuit, comme je l'ai déjà raconté. Je ne vais pas vous imposer la litanie du reste, mais chacun de nos ébats fut aussi agréable que mémorable.

Nous avons aussi joué avec nos cadeaux de l'an : des menottes, des chevillotes (des menottes pour chevilles quoi), un drap de vinyle, un nouveau michet en forme de dague, un collier et une laisse. Mlle Coquelicot savait que j'avais fait une commande chez Démonia, mais ignorait son contenu. Voilà le message que je lui avais laissé le matin :

Ce soir, nous jouons à monsieur et sa poupée. Dès les enfants couchés, tu deviens ma poupée. Prends un bain, rase-toi, maquille-toi, mets des sous-vêtements coquins (pas de culotte), des escarpins et un manteau long. Descends me voir.
La poupée doit suivre certaines règles. Elle baisse les yeux en ma présence. Elle ne parle que pour me répondre. Elle m'appelle monsieur. Elle est docile, ne prend pas d'initiative, mais suit les consignes avec enthousiasme. Elle accepte tout sans discuter, sous peine d'être punie.
Si à un moment, tu veux arrêter le jeu, dit juste "Madagascar".

J'avais prévu de l'attacher aux quatre coins du lit, de la caresser partout, de la frapper doucement avec nos jouets et de la faire jouir plusieurs fois, sans qu'elle puisse m'en empêcher (ce qu'elle fait d'habitude en me demandant de la prendre).
Bon, c'était une première expérience, et elle s'est plus ou moins bien déroulée. Mlle Coquelicot était tendue, l'inquiétude de ne pas savoir ce qui allait arriver (et comment elle allait réagir) prenant le pas sur le plaisir de ne pas savoir ce qui allait arriver. De mon côté, j'étais aussi assez nerveux. Bref, les rôles de monsieur et de la poupée n'ont pas été tenus de façon très rigoureuse. Nous avons plutôt été M. Chapeau et Mlle Coquelicot dans leurs rôles naturels.
Le meilleur achat est sans doute la dague, dont les deux extrémités ont eu l'air de donner beaucoup de plaisir à Mlle Coquelicot. Pas au point de la faire jouir, mais je la sentais à la limite. Voir les muscles de ses cuisses et de son ventre tressaillir à chaque aller-retour était très satisfaisant. J'ai hâte de la réutiliser sur elle ou qu'elle s'en serve sur moi.

Notre plus longue période d'abstinence a été de 8 jours, pour cause de maladies enchaînées. La plus courte d'une nuit.

J'hésite à poursuivre mes notes en février. Mlle Coquelicot, qu'en penses-tu ?

lundi 2 février 2009

La question de la fréquence

Lors de nos négociations libidineuses, une interrogation revient souvent chez Mlle Coquelicot : "mais on ne fera pas ça trop souvent, hein ?". Elle s'inquiète que notre sexualité actuelle se trouve bouleversée par la pratique nouvelle que je lui propose (que ce soit les films pornos, la sodomie ou le libertinage). En fait, le fond de son inquiétude est sans doute ailleurs.

Mlle Coquelicot n'a qu'un défaut, le manque de confiance en soi. Sur le plan sexuel par exemple, elle a peur de ne pas me satisfaire. Elle se dit que je lui cache mes véritables envies, que je suis en fait insatisfait de nos rapports et d'elle.

Evidemment, c'est faux. Enfin, évidemment pour moi qui suis dans ma tête, ça ne fait jamais de mal de le lui rappeler (Mlle Coquelicot, tu es boooonne !). Si je lui propose de nouvelles choses, ce n'est pas que je suis insatisfait, mais au contraire, qu'étant satisfait et heureux en ménage avec elle, j'ai envie d'aller de l'avant, d'essayer de nouvelles choses, bref de m'amuser.

Car, ce qui est vrai, c'est que j'ai un potentiel fort développé pour les envies et les fantasmes. Et ce développement paraît ne pas connaître de limites, ce qui embête Mlle Coquelicot. Elle aimerait savoir jusqu'où je compte remplir le tonneau, quand elle pourra s'asseoir et souffler en se disant que cette fois, il est enfin plein et que je ne lui sortirai pas une nouvelle pratique de sous mon chapeau éponyme.

Ce à quoi je lui réponds invariablement que j'attendrai encore un peu avant de lui demander de faire l'amour avec un poney mort.

Mais, plus sérieusement, nous touchons là à une différence essentielle entre nos libidos. Ou, du moins, à la façon dont nous vivons nos libidos. La mienne est en perpétuelle expansion. Quand à Mlle Coquelicot ... eh bien, en fait, c'est pareil, mais avec deux pas de retard sur moi. Car sa libido à elle aussi est en perpétuelle expansion. Oh oui. Elle est bien obligée, la pauvre.

Sauf que ... je crois bien que ça lui plaît pas mal au final. La plupart de nos expérimentations se sont bien déroulées, elles n'ont pas monopolisé notre champ érotique : elles l'ont enrichi. Et je ne suis pas le seul à proposer une sodomie ou un porno. Ces envies font partie de son lexique de boudoir.

Peut-être est-ce cela en fait qui l'effraie ? Se découvrir elle-même, avoir à faire de la place dans sa tête pour de nouvelles pensées, de nouvelles envies. Je ne sais pas.

Bref, tout ça pour dire que cette question s'est posée aussi lors de nos discussions sur le libertinage. Elle voulait s'assurer que nous ne ferions pas ça trop souvent. J'ai donc répondu que je ne comptais pas y aller plus d'une ou deux fois par an, ce qui correspond grosso modo à la fréquence de nos autres activités coquines exotiques.

Ce que je n'avais pas prévu, c'est que notre activité jambe-en-l'airesque a connu un véritable boom depuis fin 2008 (peut-être est-ce inversement proportionnel à l'état de la finance mondiale ?) En terme de sexe, nous avons épuisé en janvier l'équivalent de plusieurs mois de 1999 ou 2002 (années choisies au hasard total). L'envie de refaire "ça" revient donc aussi plus vite que prévu.

Honnêtement, je savais bien que j'avais toutes les chances de vouloir regoûter au libertinage avant elle. Je m'attendais à attendre, comme j'ai parfois attendu pour le reste. Sachant que cela viendrait naturellement à l'occasion. Mais il y a maintenant dans notre couple une autre nouveauté capitale, c'est la totale franchise que nous avons l'un pour l'autre. Alors que j'hésitais auparavant à demander à Mlle Coquelicot ce qui me faisait envie, de peur de la vexer, ou pire de justifier ces craintes, je peux aujourd'hui (et notamment grâce à ce blog), lui dire que oui, j'aimerai beaucoup aller en club plus souvent que ce que je pensais.

Oh, pas beaucoup plus. De toute façon, nos finances ne nous le permettent pas (garde des enfants + 150k de voiture + hôtel + club + WE de shopping à Paris + 150k de voiture + cadeau pour se faire pardonner des enfants = beaucoup). Sans compter la fatigue. Mais un peu plus qu'une ou deux fois par an, ce serait chouette. Surtout pendant cette période de découverte.

Bien sûr, la franchise n'a de sens que si elle s'accompagne de compréhension de ma part. Si Mlle Coquelicot ne veut pas retourner en club bientôt ou trop souvent ou même du tout, je comprendrais. Si si. Je ne suis pas devenu un monomaniaque des baises plurielles. Il lui suffit de me le dire et nous en discuterons.