mardi 3 février 2009

Bilan de janvier 2009

Chaque nouvelle année ou presque, je me dis qu'il serait amusant de compter nos ébats, pour voir notre score réel sur l'année. Chaque année ou presque, quelques jours passent, je ne note rien et il est rapidement trop tard. Et je me dis que, de toute façon, cette idée est un peu saugrenue, voire pas très maligne.

Cette année, sur bien des points, est différente. Sachant que nous allions libertiner, j'étais plus motivé pour prendre des notes dans mon calepin. En voici le résultat.

Nous avons fait l'amour 16 fois en janvier. La première fois juste après le réveillon de l'an, pour fêter la nouvelle année. (Techniquement, c'était le 1 janvier ; on peut aussi voir ça comme la nuit du 31, ce qui nous descendrait à 15.) Une fois au No Comment (entre nous ; je ne compte pas notre mélange avec Charlotine et Ernestin, ou quels que soient leurs noms, puisque nous ne nous sommes pas présentés). Une fois au milieu de la nuit, comme je l'ai déjà raconté. Je ne vais pas vous imposer la litanie du reste, mais chacun de nos ébats fut aussi agréable que mémorable.

Nous avons aussi joué avec nos cadeaux de l'an : des menottes, des chevillotes (des menottes pour chevilles quoi), un drap de vinyle, un nouveau michet en forme de dague, un collier et une laisse. Mlle Coquelicot savait que j'avais fait une commande chez Démonia, mais ignorait son contenu. Voilà le message que je lui avais laissé le matin :

Ce soir, nous jouons à monsieur et sa poupée. Dès les enfants couchés, tu deviens ma poupée. Prends un bain, rase-toi, maquille-toi, mets des sous-vêtements coquins (pas de culotte), des escarpins et un manteau long. Descends me voir.
La poupée doit suivre certaines règles. Elle baisse les yeux en ma présence. Elle ne parle que pour me répondre. Elle m'appelle monsieur. Elle est docile, ne prend pas d'initiative, mais suit les consignes avec enthousiasme. Elle accepte tout sans discuter, sous peine d'être punie.
Si à un moment, tu veux arrêter le jeu, dit juste "Madagascar".

J'avais prévu de l'attacher aux quatre coins du lit, de la caresser partout, de la frapper doucement avec nos jouets et de la faire jouir plusieurs fois, sans qu'elle puisse m'en empêcher (ce qu'elle fait d'habitude en me demandant de la prendre).
Bon, c'était une première expérience, et elle s'est plus ou moins bien déroulée. Mlle Coquelicot était tendue, l'inquiétude de ne pas savoir ce qui allait arriver (et comment elle allait réagir) prenant le pas sur le plaisir de ne pas savoir ce qui allait arriver. De mon côté, j'étais aussi assez nerveux. Bref, les rôles de monsieur et de la poupée n'ont pas été tenus de façon très rigoureuse. Nous avons plutôt été M. Chapeau et Mlle Coquelicot dans leurs rôles naturels.
Le meilleur achat est sans doute la dague, dont les deux extrémités ont eu l'air de donner beaucoup de plaisir à Mlle Coquelicot. Pas au point de la faire jouir, mais je la sentais à la limite. Voir les muscles de ses cuisses et de son ventre tressaillir à chaque aller-retour était très satisfaisant. J'ai hâte de la réutiliser sur elle ou qu'elle s'en serve sur moi.

Notre plus longue période d'abstinence a été de 8 jours, pour cause de maladies enchaînées. La plus courte d'une nuit.

J'hésite à poursuivre mes notes en février. Mlle Coquelicot, qu'en penses-tu ?

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