jeudi 26 mars 2009

La peau dans la peau

Nos soirées en club libertin ont été l'occasion de découvrir des vérités lapalisséennes. Des choses que je savais, mais auxquelles je n'avais jamais été confronté. Comme, par exemple, le fait que toutes les femmes sont différentes, au point de vue de la morphologie générale, et du sexe en particulier. J'en étais convaincu, certes, mais cela m'a tout de même frappé (pour ainsi dire) différemment quand j'ai pu le constater de lingus.

L'autre chose phénoménale bien qu'attendue, c'est que les femmes sont douces. Toutes. Enfin, les trois que j'ai eu la chance de caresser. Quatre même en comptant Mlle Coquelicot. Elles sont douces, donc, d'une douceur qui m'a confondu, et que je ne saurais décrire avec justesse. Plus que de la peau de bébé, tiens, c'est dire.

Quand je caresse Mlle Coquelicot en club, sa peau n'offre pas la même sensation qu'à la maison. Elle aussi devient extraordinairement douce... C'est étrange. Peut-être est-ce un effet délibéré travaillé par les patrons du club ? Une drogue dans les boissons ? Un parfum doux dans l'air ? Peut-être un adoucissant dans le savon, qui fait que tout ce que l'on touche à l'air plus doux, alors que ce sont en fait nos mains qui sont abrasées ?

Quoi qu'il en soit, j'essaye d'entretenir cette sensation. Mlle Coquelicot emporte toujours un peu de cette texture de qualité avec elle, sur elle. Je cherche les parties de son corps qui la conserve le mieux. Ses avant-bras, ses cuisses, ses pieds et son visage sont maintenant les destinataires favoris de mes caresses. Chaque contact me ramène dans ce palais de la volupté où les peaux sont comme des tissus exotiques.

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